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Le tourisme sexuel concerne des individus qui voyagent pour consommer du sexe avec des autochtones, loin de la morale et des possibles sanctions judiciaires. Il englobe le tourisme sexuel homosexuel, le tourisme sexuel pédophile, le tourisme sexuel masculin et le tourisme sexuel féminin. Ce dernier concerne des femmes mûres occidentales qui recherchent de jeunes éphèbes noirs, en vue de combler leur misère sexuelle. Mais peu importe le type, le schéma (colonial ?) est généralement le suivant : une clientèle originaire des pays occidentaux voyage vers les pays en voie de développement, où une grande partie de la population vit dans la pauvreté. Ceci afin de l’exploiter sexuellement.
Lorsqu’on mentionne le tourisme sexuel, il est commun de penser au gros pervers libidineux et chauve qui écume les pays pauvres pour assouvir ses pulsions sexuelles, en souillant sans scrupule la beauté des jeunes filles. Comme par exemple à Nosybe (Madagascar), où un vieux touriste édenté peut passer une nuit entière avec une fille à peine pubère, pour la somme dérisoire de deux euros. Mais le tourisme sexuel au féminin, même s’il est moins connu est en constante augmentation. Ce sont environ 600 000 femmes blanches et mûres en manque de sensations voluptueuses, qui s’offrent chaque année des vacances sexuelles.
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